Je garde un souvenir très fort de Ephraïm Lewis disparu  en 1994. La chanson avait une sonorité qui m’évoquait un univers aquatique. Nous avons reconstitué une forêt en studio. Oil factory avait une façon formidable de produire et réussissait à apporter tous les éléments pour faire un clip de qualité. C’était un univers onirique, la pluie tombait. Ephraim était assis au pied de son lit, la chanson passait en accéléré sur le tournage pour obtenir un effet de ralenti à l’image, la sensation d’être dans l’eau